Bonjour Alain, quel est le but de cette nouvelle association EFEL ?
EFEL part du constat suivant : en France, dans le numérique, le logiciel a un place sous-évaluée alors que ce sont eux qui créent le plus de valeur. De plus, la place de la France dans ce domaine est très faible. Très loin derrière les Américains mais aussi les Allemands. Or cela devient stratégique pour les entreprises et le tissu économique d’intégrer cette chaine logicielle en local. D’ou notre volonté de faire connaitre la « French Touch » logicielle afin que les donneurs d’ordres privés comme publics se tournent davantage vers les éditeurs de logiciels locaux. Notre objectif est de de faire grandir des champions Francais qui rayonnent à l’international dans le domaine du logiciel.
Qui est donc derrière EFEL?
Il n’y a pas de complot (rire). Juste des éditeurs de logiciels qui ont décidés de se regrouper pour faire passer ce message et porter la marque « French Touch Software » à l’international. Nous sommes déjà plus d’une trentaine après le lancement. Cela représente déjà des centaines d’emplois et des millions d’euro de chiffre d’affaire. Je suis fier d’en être le premier président pour un an avant de passer la main à Vincent Bouthors président de Jalios un autre exemple de pépite Francaise.